jeudi 28 avril 2011

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Un singe en hiver

Un singe en hiver (film)Jean Gabin dans Touchez pas au grisbi, de Jacques Becker (1954)

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Un singe en hiver
RéalisationHenri Verneuil
Acteurs principauxJean Gabin
Jean-Paul Belmondo
Suzanne Flon
Noël Roquevert
Paul Frankeur
ScénarioFrançois Boyer
Henri Verneuil
Michel Audiard
DialoguesMichel Audiard
DécorsRobert Clavel
PhotographieMarcel Dole
SonJean Rieul
MontageMonique Bonnot
Françoise Bonnot
MusiqueMichel Magne
ProductionJacques Bar
Société(s) de productionCipra Films
Cité Films
Société(s) de distributionU.F.A - Comacico
Pays d’origineDrapeau : France France
Langue(s) originale(s)français
FormatNoir et blanc 35 mm
2,35:1
GenreComédie dramatique
Durée99 minutes
Sortie11 mai 1962 (France)
Un singe en hiver est un film français de 1962 avec Jean-Paul Belmondo et Jean Gabin réalisé par Henri Verneuil, d'après le roman éponyme Un singe en hiver (1959) d'Antoine Blondin.
Synopsis[modifier]
En juin 1944, Albert Quentin, ancien fusilier-marin en Chine, tient, avec sa femme Suzanne, rencontrée à La Bourboule, l’hôtel Stella dans le village de Tigreville, sur la côte normande aux environs de Deauville.
Il se laisse souvent aller à trop boire, ce qui le porte à la nostalgie de son service militaire en Chine. Lors d’un bombardement en juin 1944, il promet à Suzanne de ne plus boire si l’hôtel échappe à la destruction ; promesse tenue.
Quinze ans plus tard, débarque Gabriel Fouquet, publicitaire. Il boit pour effacer l’échec de sa vie sentimentale avec Claire qui vit à Madrid, « voyager » en Espagne et rêver de tauromachie. Il vient voir sa fille Marie pensionnaire à Tigreville, dont Mme Victoria, la directrice pourtant française ne parle qu'en anglais. Les deux hommes, qui n’ont pas « le vin petit ni la cuite mesquine », vont connaître deux jours d’évasion grâce à l’ivresse, l’un en Espagne et l’autre en Chine ; l’apothéose étant un feu d’artifice « dantesque » sur la plage. Puis chacun retournera à sa vie d’avant.

Cinéma américain.

De la fin des seventies aux années 1990 : « l'ère Spielberg »[modifier]
Pendant les années 1970-1980, l'augmentation du nombre des films de science-fiction et de super-héros accompagne la diminution du nombre des westerns : 2001 : l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick (1968), Star Wars de George Lucas (1977), Rencontre du troisième type (1977) et E.T. l'extra-terrestre (1982) de Steven Spielberg, Superman (1978), Flash Gordon (1980), Alien - Le huitième passager (1979) et Blade Runner (1982) de Ridley Scott, , Gremlins de Joe Dante, Terminator (1984), Retour vers le futur (1985) de Robert Zemeckis.
Nombre de ces films à gros budget ont des suites, des produits dérivés et sont l'objet d'un marketing intensif. S'ils sont en partie modernes, de par leurs sujets (rencontre avec l'autre, apparition extraterrestre, intelligence artificielle) et leurs effets spéciaux, il s'agit essentiellement de super-productions hollywoodiennes dont le traitement de l'histoire est classique, le récit linéaire (se terminant par un happy end)[7] et un montage transparent (il n'y pas de faux raccord, de regard caméra ou bien de cadrage serré volontaire). On appelle parfois cette période l'ère Spielberg, à cause du caractère amblématique de ses films.
Avec Tron (1982), Predator (1987) et plus encore Terminator 2 (1991), la science-fiction bénéficie de plus en plus des progrés du traitement informatique de l'image (numérisation, morphing) qui devient la norme de blockbusters comme Jurassic Park (1993), Independence Day (1996) ou Godzilla (1998). Le XXe siècle s'achève avec Matrix (1999), un film de science-fiction bientôt culte inaugurant une nouvelle génération d'effets spéciaux numériques permettant de reculer les limites de ce qu'il est possible de représenter et appelés à se généraliser dans les années 2000.
La Guerre du Viêt Nam est également un sujet de réflexion privilégié par le cinéma américain de cette époque : Voyage au bout de l'enfer de Michael Cimino (1978), Apocalypse now de Coppola (1979), Rambo (1982), Platoon d'Oliver Stone (1986), Full Metal Jacket de Kubrick (1987). D'autres films évoquant divers épisodes de la Seconde guerre mondiale marquent la décennie suivante : La liste de Schindler (1993) et Il faut sauver le soldat Ryan (1998) de Spielberg, La Ligne rouge (1998) de Terrence Malick.
Un autre fait notoire des années 80 et qui se prolonge dans les années 90 est la vogue du cinéma d'action, dont les héros, justiciés expéditifs, franc-tireurs virils, body-buildés ou bagarreurs vindicatifs préfigurés par Charles Bronson et Clint Eastwood sont incarnés par toute une génération d'acteurs (Schwartzeneger, Stallone, Chuck Norris, Jackie Chan, Steven Seagal, Bruce Willis et autres Van Damme...) et dénote l'influence croissante du cinéma hongkongais dont les réalisateurs viennent parfois tenter leur chance à Hollywood (John Woo, Tsui Hark..).
Le thriller, inspiré par la fascination que les psychopathes et les tueurs en série exercent sur le public, connaît de brillantes réussites : Liaison fatale (1987), Le Silence des agneaux (1991), Basic Instinct (1992), , Seven (1995)...

Titanic (1997) de James Cameron résume bien la tendance des années 90 : goût de la performance, énormes moyens financiers et techniques, numérisation des images , record d'audience. Si les valeurs sûres sont toujours très présentes (Spielberg, Georges Lucas, Coppola, Scorcese, Eastwood...), une nouvelle génération s'affirme avec force et joue des codes et genres cinématographiques avec une grande virtuosité : Sexe, Mensonges et Vidéo (1989) de Soderbergh, Pulp Fiction (1994) de Tarentino, Batman (1989) ou Mars Attacks ! (1996) de Tim Burton...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Cabaret_Normand,_Villerville.jpg